Les bien-pensants de l’Europe de l’ouest, et les dirigeants français en particulier, ne peuvent pas structurellement et surtout ne veulent pas voir les dangers qui se profilent de la constellation islamique dirigée par l’Iran. Il s’agit d’un phénomène de soumission et de faiblesse identique à celui face à Hitler en 1938, après l’Anschluss. Chacun se souvient de l’affirmation de Winston Churchill : « Ils ont eu le choix entre le déshonneur et la guerre ; ils ont choisi le déshonneur, et ils auront la guerre ».
Les raisons de cette faiblesse sont multiples et sont liées quant à la France au choix dramatique par le général de Gaulle de la carte arabe et surtout de la position anti-israélienne obsessionnelle du Quai d’Orsay.
L’une des conséquences de ce choix est la dépendance économique délétère ainsi créée et surtout une politique soi-disant « gagnant-gagnant » – en fait un pur chantage – d’une immigration « de travail » non maîtrisée, dont les dérives terroristes constituent pour les différents gouvernements un « simple » risque statistique, spectaculaire et dramatique mais bien inférieur par exemple aux accidents de la route.
Donald Trump suscite des jalousies du fait qu’il réussit malgré les embûches posées sans cesse par ses opposants démocrates. Le bilan de son action est positif : création de 2 millions d’emplois, politique extérieure extrêmement ferme, défense des citoyens Américains et de leurs valuers et intérêts, mépris justifié de la presse des « fake news », etc…
La gauche bien-pensant le hait pour une raison essentielle, outre celles mentionnées ci-dessus : il soutient de façon indéfectible l’Etat d’Israël, symbole de dynamisme et de progrès et tête de file de la lutte sans merci et sans soumission contre la terreur islamique.